Qualité de l’Air Intérieur (QAI)

La Qualité de l’Air Intérieur et Pollution atmosphérique

« 20 000 décès par an sont directement liés à la mauvaise Qualité de l’Air. Plus de 28 000 nouveaux cas de pathologies sont dénombrés chaque année tandis que le nombre d’asthmatiques s’est multiplié par 4 en 30 ans. »

Etude Anses, CSTB, OQAI, Février 2019

80 % de notre temps se passe dans des endroits fermés, que ce soit le lieu de vie, de travail ou pour les loisirs. En moyenne donc, ce sont 16 heures par jour passé dans des lieux clos.

Si la pollution de l’air extérieur est un enjeu de santé pour tous, celui de la Qualité de l’Air Intérieur (QAI) est primordial pour l’individu.


Aujourd’hui, dans les diagnostics immobiliers obligatoires, seul l’amiante et le plomb sont mesurés. Or, il existe de multiples autres sources de pollutions de l’air intérieur.

L’air qui stagne plus ou moins longtemps à l’intérieur est ainsi chargé en CO2, produits chimiques tels que les composés organiques volatils, le formaldéhyde, et pour certains logements du radon.

De plus, si la majorité des polluants sont nocifs voire cancérogènes, d’autres nuisances agissent sur la santé des occupants d’un lieu telles que l’humidité ou les acariens.

La Qualité de l’Air Intérieur : les sources de pollutions

De nombreux symptômes sont liés à une mauvaise qualité de l’air ambiant : maux de tête, fatigue, irritation des muqueuses (yeux, nez, gorge), mais aussi vertiges ou allergies comme l’asthme.

Les effets néfastes sur la santé sont particulièrement avérés chez les personnes âgées ou souffrantes d’insuffisances immunitaires, cardiaques ou respiratoires et chez les enfants.


L’exposition aux particules diminue de manière significative l’espérance de vie. En effet, ce sont bien les effets à long terme avec une exposition répétée qui s’avèrent plus importants pour la santé.

Les études effectuées dans le cadre du programme Clean Air for Europe ont démontré que les particules PM2.5 présentes dans l’atmosphère raccourcissent l’espérance de vie dans l’UE de plus de 8 mois, soit une perte annuelle totale de 3,6 millions d’années de vie. »

Irceline – Impacts de concentrations élevées sur la santé- 2010

Le Diagnostic Immobilier Santé Environnementale permet d’identifier les principaux polluants présents dans l’air intérieur et d’en mesurer la concentration.

De cette manière, on prévient les risques sanitaires qu’encourent les occupants … ce qui n’est décrit dans aucun autre diagnostic immobilier à l’heure actuelle.

Alors, il faut bien que quelqu’un vous le D.I.S.E®

Evaluation de la Qualité de l’Air Intérieur dans le DISE®

Voici une partie des critères observés dans le Diagnostic Immobilier Santé Environnementale :

  • Humidité ambiante, notamment dans les pièces dites “humides” (salle de bain, toilettes, buanderie)
  • Taux de Composés Organiques Volatiles (COV/VOC) dans les zones de repos (chambre, salon)
  • Niveau de particules fines (PM1.0, PM2.5, PM10) dans l’habitat et en lien avec la pollution extérieure
  • Le taux de formaldéhyde*
  • La Détection du radon (si la commune est située en Catégorie 3)
  • Etc…

Bien entendu, nos diagnostiqueurs tiennent compte de tout évènement extérieur pouvant altérer les résultats (exemple : incendie, canicule, catastrophes industrielles, diffusion d’encens juste avant le diagnostic…)

Le Diagnostic Immobilier Santé Environnementale D.I.S.E® permettra d’évaluer le niveau de qualité de l’air intérieur sur l’ensemble du bien immobilier. Dans l’hypothèse où, la pollution serait :

OPTIMALE

Si la qualité de l’air est optimale, vous pourrez ajouter cet argument à la liste des points positifs du bien immobilier pour le valoriser. 

NON-OPTIMALE

Si la qualité de l’air n’est pas optimale, vous obtiendez des conseils personnalisés de nos diagnostiqueurs pour limiter les effets indésirables

* Dans certains cas, environnement industriel ou agricole proche, présence de jeunes enfants dans le futur logement, nous recommandons une analyse complémentaire (en supplément facturé). Les analyses seront effectuées par un laboratoire partenaire accrédité disposant des agréments du ministère de la santé, du ministère de l’environnement et du travail.  * Notes pour le formaldéhyde : la valeur relevée in situ tiendra compte du fait que le logement est encore habité ou non. En effet, un logement vide avec un taux anormal de formaldéhyde, le sera encore plus une fois le lieu habité compte tenu ce polluant provient principalement de l’activité quotidienne des habitants et de l’ameublement.

Les liens entre pollutions de l’air intérieur et pollution de l’air extérieur sont très fins.

Ainsi, si la pollution de l’air extérieur est minime, mais que le logement contient des éléments polluants, il faudra adapter les dispositifs pour assainir le cadre de vie.

Si le lieu de vie se situe dans une zone polluée, c’est cet air là qui entre à l’intérieur grâce à la ventilation. Lorsque ces données sont combinées aux émanations de l’air intérieur, cela peut avoir des répercussions sur la qualité de vie des occupants.

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Les 3 autres nuisances evaluÉes dans le D.I.S.E®

NUISANCES
SONORES

Exposition
aux ondes  

Qualité
de l’EAU

DIAGNOSTIC IMMOBILIER SANTÉ ENVIRONNEMENTALE – D.I.S.E® 

SOCIÉTÉ DU CONSORTIUM ÊTRE ÉCO – N°SIRET 84870533100017